Article en construction: en attente de l'autorisation de l'autrice.
1° Les observations de cétacés de 1985 à 2014 à Ouessant. 2° Les observations sur le ferry Bilbao-Portsmouth de 2000 à 2010. 3° Les Sorties en mer sur le Gouf de Capbreton depuis Saint-Jean-de-Luz jusqu'à Bilbao. 4° Guide des cétacés dans la golfe de Gascogne. 5° livres et infos diverses.
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mardi 26 décembre 2023
Mesures de protection des cétacés. Un arrêté ministériel hypocrite.
mercredi 6 septembre 2023
Sortie en mer du 6/9/23.
vendredi 14 juillet 2023
dimanche 18 juin 2023
Roger Payne, le chercheur qui a découvert le chant des baleines, est décédé.
La révélation d'un chant envoûtant conduisant à une prise de conscience collective. C'est ce qu'a permis Roger Payne, le bioacousticien américain ayant découvert le chant des baleines à bosse. Il est décédé le 10 juin 2023 à 88 ans.
Un article pionnier publié dans Science en 1971
Roger Payne obtient en 1961 un doctorat à l'Université de Cornell (Etats-Unis). S'il étudie tout d'abord l'ouïe des chauves-souris, des hiboux et des insectes, il se tourne finalement vers l'écoute des baleines. "A la fin des années 60, les deux chercheurs américains Roger Payne et Scott McVay, accompagnés leurs femmes respectives, travaillent sur des enregistrements sonores de la US Navy qui contiennent des émissions sonores de baleines à bosse, raconte à Sciences et Avenir le bioacousticien Olivier Adam (Sorbonne Université). Et ils font une découverte majeure : ces vocalisations sont organisées dans le temps, sous forme de phrases, et ces phrases se répètent, créant ainsi des chants".
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/animaux-marins/roger-payne-le-chercheur-qui-a-decouvert-le-chant-des-baleines-est-decede_171966?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR16mzgXaeFQ4cYN2Zets0k8SQih0v-vbnDfHeoFiy7_TlUb5uujsoo
lundi 8 mai 2023
Dauphin commun, (Delphinus delphis) leucistique ou albinos ou ? dans le golfe de Gascogne
lundi 24 avril 2023
Comment observer des baleines (sans les mettre en danger) ?
Une baleine grise effectue un « spy-hop », un geste qui la place en position verticale et lui permet de jeter un œil aux environs, tandis qu’un bateau s’attarde en arrière-plan. Des touristes du monde entier embarquent pour admirer les baleines de près. Mais il peut être difficile de trouver des guides responsables qui ne mettent pas en danger ces géants des mers.
PHOTOGRAPHIE DE THOMAS P. PESCHAK, NAT GEO IMAGE COLLECTION
https://www.nationalgeographic.fr/animaux/comment-observer-des-baleines-sans-les-mettre-en-danger?cmp=soc-fb-o%3Alnk%3AEDITORIAL%3ANGLocalSites%3A%3Amovhp%3A%3A19000100%3A%3Angfr&fbcli
Ces excursions bénéficient en général aux les baleines, mais elles peuvent également les crisper. Voici comment faire en sorte que votre voyage leur fasse plus de bien que de mal.
Partir sur la piste des orques à lors d’un circuit touristique baleinier peut donner lieu à des photos de vacances qu’on n’aura l’occasion de prendre qu’une seule fois dans sa vie. Quoique mémorables pour les touristes, de telles entreprises peuvent forcer les cétacés à abandonner des terrains de chasse cruciaux pour eux, à se séparer de leurs petits et même les accabler d’un stress débilitant.
La Commission baleinière internationale (qui supervise la pêche à la baleine et le tourisme baleinier dans le monde entier) répertorie une cinquantaine de pays qui se sont dotés de règles pour encadrer le tourisme maritime, qu’il s’agisse de distances de sécurité à respecter ou bien de durées maximales que les bateaux peuvent passer auprès d’un groupe de cétacés. Si le tourisme baleinier connaît un essor dans le monde entier, les touristes ont du mal à savoir si les guides locaux sont au courant des régulations qui encadrent la pratique, ni s’ils les respectent.
Étant donné que les espèces et les communautés côtières sont diverses et variées, les régulations et les ressources varient selon les régions : ce qui fonctionne à Tromsø, en Norvège, peut ne pas fonctionner à Baja California, au Mexique. Ainsi, il est difficile d’imposer des restrictions homogènes dans le monde entier et de les faire appliquer de manière uniforme.
Ces facteurs peuvent grandement compliquer la tâche des touristes qui attendent avec impatience depuis longtemps une telle virée en mer. Il existe cependant des choses que vous pouvez faire avant de vous lancer pour faire en sorte que votre expérience soit inoubliable tout en participant à la protection des animaux et à la pérennisation de leur avenir. Voici ce qu’il faut savoir.
mercredi 19 avril 2023
Sortie en mer du 19/4/23 avec Explore Océan.
Saut d'un globicéphale |
mercredi 8 mars 2023
mercredi 1 mars 2023
vendredi 24 février 2023
Perros-Guirec. Insolite : un phoque se régale en dégustant une grosse pieuvre.
Un repas tentaculaire ! Au large de Ploumanac’h, il y a quelques jours, une grosse pieuvre a fait le bonheur d’un phoque pour son repas. Cette scène n’a pas échappé au regard d’un amateur de photos et d’animaux marins.
Un phoque qui se débattait…
Gilles Delavault, définitivement installé en retraite à Penvénan depuis 2019, apprécie « le paradis » que lui offre la côte trégorroise pour capturer les instants de la vie marine.
Le sexagénaire se rend à Ploumanac’h deux fois par semaine. Et cette fin de période hivernale lui est largement propice, pour que les résidents à plumes et à nageoires se montrent.
C’est ainsi qu’au cours d’une de ses sorties perrosiennes, le Penvénanais, installé dans les rochers, a aperçu ce phoque, à 10 mètres du bord, qui se débattait :
« Je croyais qu’il tapait une algue, de droite à gauche. Mais en zoomant sur les photos, j’ai vu que c’était une pieuvre, j’étais très surpris ! »
Le phocidé était en plein combat pour maîtriser son gigotant repas. « Il avait une tentacule complète dans la gueule, il a mis du temps avant d’en venir à bout ».