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dimanche 26 juillet 2015

Retour sur une sortie en mer avec une lumière exceptionnelle.

Je suis formel regardez bien, c'est bien la Pena de Hoya vu au large de Berméo le 11/10/13.
Une lumière exceptionnelle ce jour là.

vu depuis le Jaizkibel.

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Vu à la télé Espagnol la ville ou j'embarque pour aller les baleines avec Verballenas.com 

vendredi 10 juillet 2015

Préparation d'une prospection sur une semaine face à la mer sur la côte Cantabrique.

Ce que j'ai fais à Ouessant, je vais le refaire au Cap Ajo.

 L'expérience depuis 2000 m'a montré que les gros cétacés sont plus visible dans les zones ou les fonds marins sont à 1000m.


C'est la seule zone sur l'ensemble de la côte espagnole ou les fonds à -1000m sont les plus près des côtes.
Ma zone de prospection

Espèces observées avec Karraspio.es je n'ai pas observé une nouvelle espèce en 2014, 

La situation des deux canyon.

jeudi 4 juin 2015

Randy dans le port de Brest.



Randy le dauphin solitaire est de retour pour l'été !

Brest. Randy le dauphin, de retour dans le port

Le célèbre dauphin solitaire Randy a été aperçu jeudi après-midi dans le port de Brest. | Crédit photo : Ouest-France

Le célèbre dauphin solitaire Randy a été aperçu jeudi après-midi dans le port de Brest.

Le dauphin solitaire, qui n’avait plus réapparu depuis le mois d’octobre, a fait le bonheur des promeneurs jeudi après-midi. Il est resté un bon moment dans le port de commerce de Brest, entre la Recouvrance et la Bergère de Domrémy.
Reconnaissable à la cicatrice qui marque son aileron et peu farouche, l’animal s’est même laissé caresser par les enfants.

Une espèce protégée

Les spécialistes déconseillent pourtant de le toucher. D’abord parce qu’il pourrait entrainer à l’eau ce qui s’en approche trop, mais aussi parce qu’il s’agit d’une espèce protégée.
Le comportement de l’animal s’expliquerait par l’exclusion de son groupe. C’est pour compenser la perte de contact avec les autres dauphins que Randy chercherait le contact de l’homme.

samedi 9 mai 2015

Randy est toujours à Ouessant.

Départ ce matin de ouessant. 9/5/15. 
Photo: Fabrice ThiebautRandy est un gentil dauphin qui semble beaucoup se plaire dans le port de Ouessant

lundi 1 décembre 2014

Régime alimentaire des phoques, tensions entre pro et amateurs éclairés sur les spots à bar.

Repu sur son rocher, ce phoque de près de 200 kg peut engloutir jusqu'à 10 kg de poisson et varier les plaisirs gustatifs.. Photo Sylvain Dromzée/Agence des aires marines protégées

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/bretagne/phoques-gris-friands-de-congres-et-de-vieilles-01-12-2014-10444594.php

Régime alimentaire des phoques, tensions entre pro et amateurs éclairés sur les spots à bar... Le Parc marin d'Iroise continue d'informer et de servir d'intermédiaire dans son périmètre de responsabilité. 
Le régime alimentaire des phoques gris est un sujet régulièrement évoqué par les pêcheurs. Que mangent-ils et en quelle quantité ? On estime leur population à 400 dans le Nord-Finistère dont 200 dans la zone du parc marin. Une étude de deux années (Inpecmam entre 2011-2013) a permis d'en savoir un peu plus sur leurs habitudes alimentaires. Treize estomacs de phoques gris retrouvés morts ont été analysés, ainsi que 41 échantillons de matières fécales. Il apparaît que le phoque gris consomme toutes sortes de poissons disponibles sur le site et particulièrement du congre et de la vieille commune, deux espèces à faible valeur commerciale. Friands aussi de jeunes poissons et notamment de lieus jaunes, les phoques peuvent engloutir entre 5 et 10 kg de poisson par jour. En revanche, les phoques du Nord-Finistère ne consomment aucun lançon, ce petit poisson situé au début de la chaîne alimentaire, très prisé dans d'autres colonies. « On peut considérer que vu leur faible nombre par rapport à l'immense colonie britannique, ils ne menacent ni l'équilibre du milieu ni l'activité des pêcheurs », résume le directeur du parc Thierry Canteri. Par ailleurs, l'enquête de terrain a révélé peu de captures accidentelles ou de déprédations (consommation des captures de pêcheurs). 1,1 million d'euros servira en 2015 à mener les différentes actions du parc marin, un montant qui ne comprend pas la masse salariale, les investissements et les frais d'administration générale. « C'est une somme allouée par l'Agence des aires marines protégées », tient à préciser le président du parc, Pierre Maille. 
Cohabitation difficile 
La situation est toujours aussi tendue entre les pros et les amateurs éclairés sur les spots de bar et de lieu jaune. Une concertation a été mise en place par le parc marin pour tenter d'apaiser les tensions sur l'eau (raz de Sein, chaussée de Sein, Keller, Ar Men...). L'inquiétude du comité départemental des pêches concerne essentiellement des pêcheurs observés de plus en plus régulièrement sur ces zones de pêche et suffisamment équipés et expérimentés pour faire de la concurrence aux professionnels. Et parmi eux justement d'anciens pros qui peinent à raccrocher. 
Celacante : statu quo 
La situation n'a pas évolué depuis cet été pour Le Celacante, le chalutier coulé à proximité du phare des Pierres Noires. L'armateur a bien signé un devis d'intervention afin de dépolluer définitivement son navire, il a également accepté les conditions des aires marines protégées de suivi de l'épave et de compensation pour le milieu. Mais les travaux, qui devaient être réalisés dans un délai maximum de trois mois, n'ont pas été engagés. L'armateur a, par ailleurs, fait savoir qu'il envisageait plutôt un renflouement de la coque en mai prochain.

dimanche 2 novembre 2014

Une baleine à bosse dans la baie d’Hendaye.

On les croyait définitivement disparues du golfe de Gascogne, victime d’une pêche intensive lors des siècles derniers. Est-ce le climat estival de cette Toussaint ou le réchauffement de l’océan qui a poussé cette baleine à bosse à s’exhiber pendant deux heures au large la corniche…
http://www.cotebasque.net/pays_basque/baleine-bosse-baie-dhendaye/
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D'Andréas:
En fait c'est la baleine des Basques Eubalaena glacialis qui a été chassé jusqu’à quasi la dernière, celle-ci Megaptera novaeangliae  dite baleine à bosse n'a pas était chassé comme l'ont été les baleines franches des basques.
Un individu avait été observé dans l'avant port de Bilbao, même si elle est extrêmement rare dans le sud du golfe de Gascogne et au large des côtes de la Biscaye, quelques individus y ont été observés.





Photos: Orlegi bio.

jeudi 23 octobre 2014

Randy de retour à Ouessant.

Par: Daniel Gué ; Petite surprise hier soir au Stiff en allant chercher des St Jacques. Il y avait notre dauphin préféré. (Photos prisent avec mon portable)
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D'Andréas: En fonction de ma bibliographie (Eric Hussenot 1980) nous explique que le grand dauphin à une vitesse moyenne de 14 km/h entre deux secteurs. Ce qui pourrait vouloir dire qu'il faudrait environ 2 heures à Randy pour faire le trajet.
Hussenot E. 1980 – Le Grand Dauphin Tursiops truncatus en Bretagne. Penn ar Bed 103 : 355 – 380.

lundi 13 octobre 2014

Résultat de ma veille sur l’observation des cétacés à Ouessant. Et récolte des observations d’autrui.

Résumé :
L’article présente les résultats de mes longues veilles depuis la pointe de Kadoran afin d’observer des cétacés vivants à partir du rivage d’Ouessant. Ainsi qu’une récolte des différentes observations par des témoignages oraux depuis l’ouverture de la station ornithologique en 1984. Ce qui représente un total de 10 cétacés.

Avertissement :
Ce que je vous livre, est le résultat d’une passion, d’un témoignage de terrain, je suis un autodidacte de 66 ans passionné par le visuel et l’émotion que me procurent les cétacés. Je vous le présente comme je l’ai vécu et analysé avec des réflexions, des doutes, de part mes expériences naturalistes et mes lectures.

Présentation :
Tout commence donc en 1985 lorsque je découvre l’existence de la station ornithologique (aujourd’hui CEMO), ouverte un an plus tôt. Il me faut attendre 1986/1987 pour observer mes premiers cétacés, des dauphins communs trouvés par 4 Danois lors d’une séance d’observation d’oiseaux marins en migration.

Ma joie fut immense car comme beaucoup d’enfants j’aimais les dauphins étant jeune, c’était pour moi une découverte que d’en voir en vrai dans leur milieu naturel et devant le phare du Créac’h.

J’ai donc multiplié les veilles au pied de ce phare mythique certes pour observer les oiseaux marins mais avec l’espoir d’y voir des cétacés. De toutes ces années jusqu'en 2010, je observé depuis ce lieu des grands dauphins et des dauphins communs, mais aussi un requin pèlerin.

De son côté, Yvon Guermeur le directeur du centre allait observer l’avifaune à la pointe de Kadoran, avec son véhicule, et il voyait aussi des cétacés. Toutes ces informations étaient relatées le soir au moment du LOG. (Réunion où chaque naturaliste transmet ses observations).

Pour nous qui n’étions qu’en vélo, il était plus commode de retourner le lendemain au Créac’h à 500m du centre ornitho, d’autant plus qu’il nous fallait transporter la longue-vue, mais je le fis quelquefois, du centre à Kadoran aller-retour il y a 14km. Néanmoins j’ai prospecté sur les différentes pointes de l’île.
Depuis 3 ans afin d’être au plus près de Kadoran, je loge à l’auberge de jeunesse en haut du bourg.

Récolte des observations : 1984/2014.
Lors de toute collecte d’observation, il se pose l’éternel doute de la viabilité des dites informations, comme c’est trop souvent le cas, les photos y sont absentes.
Quasi toutes les données récoltées l’ont été lors des séances d’observations au cours du suivi migratoire des oiseaux marins depuis le rivage nord d’Ouessant.  

- Globicéphale noir : (sans nom d’observateur).  S’il est incontestable de ne ps nier sa présence en mer d’Iroise, photo dans le goulet de Brest (François de Beaulieu 1994, p 50). (Hussenot. Prieur 1984, p 32). l’espèce semble avoir un statut trop optimiste qualifié d’abondant. (Océanopolis 2000, p 11).
- Dauphin de Risso : en 2000 par Alain de Broyer.  
- Petit rorqual : une observation d’un saut par Eric Mathieu lors d’une pêche.
- Rorqual commun : par Yvon Le Corre, dans l’ouest d’Ouessant lors d’une sortie en mer pour observer les oiseaux marins.
- Orque : observation de 4 orques à Kadoran en 89/90 par Jean-Laurent Lucchesi.
- Cachalot : une observation par Hervé Darmendieu. Puis celle du samedi 20 octobre 2012 à Kadoran puis au Créac’h, par un couple de Lyonnais vers 10h, alors que je prenais le bateau à 11h30 ce même jour. 

À la lecture des différents articles dans la bibliographie que je possède, il semble que seul Ouessant concentre autant de données de cétacés vivants, en mer d’Iroise mais aussi en Bretagne, c'est-à-dire 10 espèces de cétacés en 30 ans de présence naturaliste 1984/2014. Cela me semble dû à la situation morphologique de l’île avec ces fonds abrupts proches du rivage.

Environ vingt espèces de cétacés ont été observées au moins une fois en Bretagne. (Océanopolis 2000 p 9). Le point visuel autour d’Ouessant en concentrait donc 50%, ce qui est très important.

Résultats de mes postes de veilles
Pyramide du Runiou : depuis ce site j’ai observé des gros groupes de Dauphins
+ 100 pour les dauphins bleu-blanc
+ 200 pour les grands dauphins.
Ce site présente un gros problème, il est situé à contre jour, en plein Sud-ouest et il est très fatiguant pour la vue à cause des reflets sur la mer, je l’ai vite abandonné.

Penn-Arland à la croix de Saint Paul : ce site serait assez bien placé, s’il n’y avait pas les puissants courants marins qui gênent considérablement l’observation à cause du clapot. Je n’y ai fait que de trop rares observations.

La pointe de Kadoran : c’est véritablement de ce point au nord-est d’Ouessant que j’ai commencé mes observations depuis 2011 et 2012. J’ai donc effectué des veilles très importantes en nombre d’heure de 10h à 12h et de 15h à 17h, pendant deux semaines soit autour de 60h par année.

Pourquoi 2011 et pas avant, parce que j’étais en manque de cétacé. C’est en effet en 2010 que les stages de découverte des cétacés pendant « La croisière de baleines » que j’avais créé et organisée depuis 2000 ont pris fin à cause de la suppression de la ligne de ferry de la P&O, (une compagnie anglaise) entre Portsmouth et Bilbao.

Dès 2013 j’ai modifié mes horaires afin d’avoir une plus large amplitude d’observation de 10h à 17h voir 18h en fonction de la météo et cela pendant 10 jours soit autour de 70h par année et j’ai poursuivi cet horaire en 2014 afin de compenser les délais de stationnement sur le parking du Conquet qui ne me permettent plus de rester 15 jours sans changer ma voiture de place.

Résultat des mes observations après 260 h de veille.
- Le dauphin commun autour d’Ouessant est vraiment très abondant, puisque les observations sont quasi journalières depuis la pointe de Kadoran, avec quelques fois des groupes de 200 à 250 ind, mais plus régulièrement des sous groupes de 25 à 50 dauphins.
J’ai pu analyser qu’il y avait une interaction entre la pêcherie du Bachou et la présence des dauphins communs lors du jusant de la Manche, cette zone de haut fond au large de l’île Keller est une source importante d’alimentation pour eux, comme elle l’est aussi pour les fous de Bassan avec souvent des centaines d’oiseaux, voir jusqu'à plus d’un millier, mais aussi des labbes, puffins et laridés.
- Le marsouin commun (2 ind) est toujours observé et uniquement par mer calme dans la baie de Porz Glas et allant au-delà de la roche d’Ar C’haor, vers la baie de Toull Aoroz.
- Le grand dauphin (hormis Randy) est observé en groupe entre 15 et 20 ind, passant devant Kadoran pour aller pour un grand moment dans la baie de Béninou.
À ce sujet en ayant lu très attentivement Les Mammifères Marins de Bretagne (Océanopolis 2000, p 33 & 58) il est écrit que les populations de Sein et de l’archipel de Molène ne se mélangent pas.
Je suis donc incapable de dire si les grands dauphins de Kadoran/Baie de Béninou sont ceux de l’archipel de Molène. Sans embarcation il m’est impossible d’effectuer de la photo-identification dans la baie de Béninou, d’autant plus qu’ils présentent une activité très réduite qui s’apparente à celle du repos (Océanopolis 2000, page 83).
La situation de grand dauphin autour d’Ouessant est peu connue dans la littérature, seulement deux observations en 1978 et 1980 (Hussenot 1980).

Mon objectif en 2013 et 2014 était d’observer des globicéphales noirs décrits comme abondant dans les cahiers naturalistes de Bretagne : (Océanopolis 2000), mais je n’en ai toujours pas observé, c’est dommage car c’est une observation anonyme que j’envisageais de balayer. 
L'observation est envisageable car comme l'écrit (Eric Hussenot: 1979). "Comme pour le dauphin commun, la présence du Globicéphale dans les eaux côtières pourrait résulter d'un facteur alimentaire. La sardine se trouve en juin en Baie d'Audierne et jusqu'en Octobre en Baie de Douarnenez, ce qui correspond à nos maxima d'observation en mer".

L. Soulier via I. Castège et G. Hemery 2009, dans Oiseaux marins et cétacés du golfe de Gascogne, au chapitre ; Répartition des cétacés communs, page 155, conclut : "Le globicéphale noir est une espèce grégaire vivant au large", et son tableau des observations présente l’espèce en limite du plateau continental. Ce qui correspondrait plus à l’absence d’observation après 260h de veille à Kadoran.

Si j’ai observé certes une fois des dauphins bleu-blanc depuis dans le sud au Runiou, je n’en ai jamais vu depuis le nord à Kadoran avec certitude, Jean-Claude Hänggeli qui m’a rejoint en 2013, a émis ce doute et seule une photo pourra permettre la présence certaine.
À ce jour et après 260 heures de veille à Kadoran, seulement 3 espèces de cétacé  ont été observées. C’est dire si la tâche est ardue et demande de la volonté. 

Pourquoi choisir toujours cette période de fin septembre et début octobre ? Parce qu’elle correspond à la migration des grands cétacés. Je tiens cette expérience de mes stages sur dix années d’observation depuis la ligne de ferry passant au large d’Ouessant. Du ferry j’avais observé un petit rorqual avec Ouessant en fond, l’espoir fait vivre de l’observer depuis l’île.

La situation d’Ouessant à 22 km en mer semble permettre d’observer des grands cétacés pélagiques quasi impossibles d’observation le long du littoral côtier du continent, d’autant plus que les fonds devant Kadoran sont très vite à plus de 70m, donc plus favorable pour eux, alors qu’ils ne dépassent guère les 50m dans l’archipel de Molène.
À la lecture de l’étude d’Océanopolis (2000, p 34) Ouessant a été séparé de la zone d’étude de l’archipel de Molène, ce qui est scientifiquement compréhensif.

Alors est-ce que cette veille, quoique si faible par son amplitude dans le temps d’une année civile, peut nous enrichir sur la connaissance migratoire des grands cétacés devant Ouessant ? La question est posée en d’autres termes ; (Océanoplolis 2000, p 88).
La récolte des 6 observations par autrui de cétacés vivants me motive dans ma passion du regard vers le large afin de découvrir cette migration au large de Kadoran.

Bibiliographie
Castège I., Hémery G. (coords), 2009. – Oiseaux marins et cétacés du golfe de Gascogne. Répartition, évolution des populations et éléments pour la définition des aires marines protégées. Biotopes, Mèze ; Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, 176 p. (Collection Parthénope).

De Beaulieu F., Hussenot E., Ridoux V. 1994. – Mammifères Marins de nos côtes. Chasse-Marée/ArMen ; Abri du marin, Douarnenez, 136 p. (Collection La nature et les hommes).

Hussenot E. 1979 – Observations en mer et échouages de quelques petits cétacés en Bretagne. Penn ar Bed 96 : 11 – 32.

Hussenot E. 1980 – Le Grand Dauphin Tursiops truncatus en Bretagne. Penn ar Bed 103 : 355 – 380.

Hussenot E., Prieur D., 1984. - Mammifères et oiseaux de nos côtes. Editions maritimes & d'outre-mer, Paris. 191 p. 

Ridoux V., Liret C., Creton P (†)., Hassami S. 2000. – Etudes et conservation des mammifères marins de Bretagne. Biotopes, Mèze ; Laboratoire d’étude des mammifères marins-Océanopolis. Région Bretagne, 144 p (Collection Les cahiers naturalistes de Bretagne).
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La diversité des cétacés dans le golfe de Gascogne:
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mardi 7 octobre 2014

Le grand retour de Randy, le dauphin solitaire !

Le dauphin, bien connu sur la façade atlantique depuis des années, réapparaît régulièrement depuis quelques semaines à Brest. Les spécialistes déconseillent de s’en approcher.

Quai Malbert, à Brest, 17 h 30. Comme chaque fin d'après-midi depuis quelques semaines, les promeneurs se font plus nombreux à cette heure, longeant le quai tout en jetant un coup d'œil discret en contrebas, à la recherche d'un animal marin inhabituel... que tout le monde semble pourtant connaître dans le coin. « Oui, oui on le connaît bien. C'est lui qu'on est venus voir d'ailleurs », lance un couple de promeneur.
Celui qui se fait attendre n'est autre que Randy, ce désormais célèbre dauphin solitaire, connu de toutes les côtes d'Europe du Nord ou presque et arrivé en Bretagne en 2001. Le voyageur, reconnaissable par son aileron marqué d'une cicatrice, aurait du coup deux noms : Randy pour certains, Dony pour d'autres.

jeudi 2 octobre 2014