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samedi 12 octobre 2013

Ce que l'on voit depuis le bateau.

Il faut préciser que l'on ne voit que la partie émergée de ces animaux, ce qui est minuscule et décevant par rapport à ce que les publicités nous laissent croire.
La plupart du temps, c'est le sommet du dos qui est visible, la queue ne sort pratiquement jamais, sauf chez les baleines à bosses qui sont relativement rares.

(Source : intra-science.com)
Partie visible et représentation de la partie immergée d'un rorqual commun

(Source : intra-science.com)

Partie visible et représentation de la partie immergée d'un petit rorqual
 
 
Carte de répartition en France.


(Source : intra-science.com)

vendredi 11 octobre 2013

Sortie avec du 11 octobre 2013.





La migration des rorquals communs ce fait de plus en plus tardives, il y a 10 ans c'était fini en septembre, hormis quelques individus, depuis quelques années, le réchauffement climatique fait que les rorquals communs ont largement un mois de retard. Est-ce dû au manque de nourriture..?  les eaux sont plus chaude. (jusqu'à 2° en Arctique).
Un début étude anglaise dit, mais aussi Clive Martin de la BDRP disait: que la fonte des glaces adoucit la salinité des eaux, et que la nourriture (le Krill) en serait moins abondante pour les rorquals communs.  

Pour les cachalots qui migrent plus tard, personne n'a aucune explication. Ce qui est certain c'est que depuis l'arrêt de la chasse aux Acores la population des cachalots est en augmentation.
Il n'est pas impossible qu'un groupe se sédentarise dans le golfe de Gascogne. La typologie au large des côtes nord de l'Espagne offre un habitat qui est des plus favorable surtout pour les calmars dont les cachalots se nourrissent. 

J'ai reçu ce jour 12oct une source d'information qui confirme l'influence du changement climatique


Sur la photo: Le museau du rorqual



Cette photo mérite une explication, lorsque que l'aileron dorsal apparait à la surface de l'eau, le museau du rorqual commun est déjà sous l'eau, ce qui ne serait pas le cas pour un petit rorqual.


Traduction: Jose Maria a fait et imaginé ce montage où l'on voit sous la mer,  nous ne voyons que la petite partie du rorqual en surface.


Lorsqu'une baleine sonde, la masse du corps et l'élan donné par la queue qui descend verticalement créent un vortex, un mouvement circulaire en entonnoir dont le centre est le point de fuite.
Les vagues et la houle semble pendant quelques minutes comme impuissantes devant l'impulsion ainsi donnée.
Au milieu de l'océan apparaît une zone de calme, ridée de cercles concentriques, étale, sereine. Et puis peu à peu le mouvement général de la surface donne à nouveau le rythme et efface la parenthèse. 

Bilan de la sortie: 2 rorquals communs, 3 timides dauphins bleu-blanc, 1 probable Ziphius de Cuvier qui a plongé, nous l'avons perdu.
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Ce matin en sortant du port.

Au large une lumière exceptionnelle.

La pena de Haya.

La visite du pont transbordeur de Santurtzi-Portugalete/Getxo...(dit de Bilbao), l'histoire dit que le constructeur serait un disciple d'Effel...!!? 

mercredi 9 octobre 2013

Les baleines grises sont victime des plastiques.

Beached whale's stomach found to be full of fresh trash

A gray whale's last meal in Puget Sound included plenty of trash, and it was fresh enough to indicate the animal took the "eat local" mantra enthusiastically to heart before coming ashore at Arroyo Beach, and later dying about a mile south of the Fauntleroy ferry dock.

A gray whale that came ashore and later died near the Fauntleroy ferry dock last week had all that is pictured here in its stomach, all ingested while feeding in Puget Sound.
 
 
Sweatpants. A golf ball. Surgical gloves. Small towels. Bits of plastic. And more than 20 plastic bags.
A gray whale's last meal in Puget Sound included plenty of trash, and it was fresh enough to indicate the animal took the "eat local" mantra enthusiastically to heart before coming ashore at Arroyo Beach, and later dying about a mile south of the Fauntleroy ferry dock.
In 20 years of examining more than 200 whale carcasses, research scientist John Calambokidis says Tuesday he has never seen so much trash in a whale's stomach. Founding member of the Cascadia Research Collective in Olympia, Calambokidis says he does not yet know what caused the whale's death, and tests are continuing.
"It kind of dramatizes the legacy of what we leave at the bottom," Calambokidis said. The sediment at the bottom of Puget Sound bays is loaded with other contaminants, "and an animal feeding and being exposed to this kind of garbage is also being exposed to those, too."
Gray whales are bottom feeders. They feed by stirring up great snoutfuls of mud, then shutting their mouths, and pressing the muck and water through a comb-like filter in their mouth. They swallow the remainder — usually crustaceans and other tiny fare. Debris ingested along with their meal where they usually feed in the Arctic typically include rocks or wood, and the animals pass them out of their system naturally.
But this whale, a 37-foot-long male, fed in Puget Sound's industrial waters, and had the goods to prove it. "We are viewing this as an indicator that what we do has an impact on other animals we share the planet with," Calambokidis said.
While it fed here, the whale is not believed to be among the small population of gray whales that regularly frequents Puget Sound's waters, particularly in the west end of the Strait of Juan de Fuca, and near Whidbey Island. Scientists know those animals by distinct markings, and this animal wasn't in that crowd.
Rather, this gray is believed to be one of the migrating whales streaming right now by Washington's outer coast, heading north from the calving lagoons in Baja, back to the animals' feeding grounds in the Bering and Chukchi seas in the Arctic.
A more than 4,000-mile journey each way, it's among the longest migration of any mammal, and the whales make the entire trip south and back again without eating. Some animals don't start out with a big enough fat pad, run out of fuel on the way home and duck into Puget Sound for a meal. But this whale did not seem to fit the emaciated look of that kind of desperation feeder, Calambokidis said.
Scientists will analyze its blubber and other tissues to determine if a disease killed the whale, and what, if any role, pollution played in its demise.
Puget Sound is actually cleaner than it used to be, the result of everything from volunteer beach cleanups to state and federal regulation requiring sewage treatment and restricting industrial discharges.
Sediment samples taken in Elliott Bay, the state's most urban waters, showed marked improvement in 2007 over the same sites sampled in 1997, according to Maggie Dutch, a benthic ecologist at the State Department of Ecology.

Levels of toxic metals such as mercury, lead and tin were all lower, as were levels of PCBs and some other chemicals. But others, such as plasticizers, were higher. The sediments beneath urban waters are the most affected by industrial pollution, of course. In other areas of the Sound, pollutant levels in the sediments are too low to even detect, Dutch said.
Tracking the pollutants is important because they travel up the food chain. The higher up the chain an animal eats, the more contaminated it is, because the toxins bioaccumulate. Orcas are about 10 times more contaminated than grays because they eat other marine mammals and fish, while grays are less affected because they subsist mostly on tiny crustaceans.
Gray whales suffered a large die-off in 1999-2000, with some 50 whales washing ashore in Puget Sound over those two years. Once overhunted nearly to extinction, the gray whales rebounded under the protection of the Endangered Species Act and were taken off the list of protected species in 1994. Their population is regarded as stable today, at about 20,000 animals.
Lynda V. Mapes: 206-464-2736 or lmapes@seattletimes.com

lundi 7 octobre 2013

Ria d'Etel. Un jeune phoque a élu domicile à Nostang

Un jeune phoque a été aperçu et semble avoir élu domicile en bout de ria d'Etel, à Nostang, non loin du village du Rémoulin. S'agirait-il d'un phoque moine ? On sait seulement qu'il s'agit d'un jeune mammifère et qu'il est arrivé par la barre d'Étel.
Les riverains ont prévenu l'association Volée de piafs, à Languidic, qui devait se rendre sur place, hier, en fin d'après-midi, pour prendre des photos et évaluer l'état de santé de la bête. Les pompiers d'Hennebont avaient également été appelés.

vendredi 4 octobre 2013

Seulement 2 dauphins communs ce 4 oct, entre 9h30 et 17h30.

De mon point d'observation voici le panorama.
Ouest: De gauche à droite en suivant la numérotation.

Nord-Ouest

Nord

Nord-Est

Est

jeudi 3 octobre 2013

Une importante pêcherie au large de Keller....mais pas sur le Bachou.

Contrairement à l'habitude la pêcherie n'a pas été au même endroit.

Deux fois la même faute "Part" avec un T "désolé".
Nous y avons observés une 15 aine de dauphins communs.
Observation de 11h à 17h30.
 
Voici comment je prends les photos.
 
Un bruant des neiges est arrivé du large, il s'est posé sur la pointe et a aussitôt mangé.

mercredi 2 octobre 2013

Des oiseaux aux cétacés.

En 1985 j’étais venu sur Ouessant pour observer les oiseaux, et dès que j’ai commencé à observer la migration des oiseaux marins depuis le Créac’h, sous la corne à brume, j’ai aussi observé des cétacés, mais principalement des dauphins communs.

Dès 1986 quatre ornithologues Danois sont venus chaque année, et leurs principales activités étaient la migration des oiseaux marins (le Seawatching). C’est comme cela et en parti grâce à eux que j’ai découvert l’existence des cétacés autour d’Ouessant.

De son côté, Yvon Guermeur allait observer à la pointe de Kadoran, avec son véhicule, et il voyait aussi des cétacés. Toutes ces informations étaient relatées le soir au moment du LOG. (Réunion ou chacun transmet ses observations).

Pour nous qui n’étions qu’en vélo, il était plus commode de retourner le lendemain au Créac’h, d’autant plus qu’il nous fallait transporter la longue-vue, mais je le fis quelquefois….Centre ornitho….Kadoran aller-retour. 14 km.

De 1985 à 2010 j’ai donc consacré 25 années principalement à l’ornithologie, et c’est pour cela qu’a partir de 2011 je me suis spécialisé dans uniquement l’observation des cétacés à Kadoran.

A ce jour 10 espèces de cétacé ont été observés, personnellement je n’en ai observé que 6, 5 depuis l’île et une en ferry avec Ouessant en toile de fond. 

L’activité naturaliste sur Ouessant étant une mosaïque qui permet une très grande diversité faunistique et floristique…j’espère de la sorte y contribuer dans sa diversification.

J’ai donc aussi changé de lieu d’hébergement du CEMO à l’Auberge de jeunesse, car c’est beaucoup plus proche.

Andréas Guyot.
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Les conditions météos ne m'ont pas permis de faire des observations, le vent est beaucoup trop fort.



Juste ce visiteur....Je me demande bien ce qu'il pense de nous...??

mardi 1 octobre 2013

Météo venteuse l'après-midi...et bien pluvieuse le matin.

Le phoque dans la machine à laver.


Autres observations: 1 gd dauphin, le même qui va se nourrir sur le Bachou, et revient vers le Stiff ensuite...et un groupe d'une 30 aine de dauphin commun.
Observation de 10h à 18h30.
 
Lors du coup de vent.

Jean-Claude qui écoute le vent dans sa Leffe.

lundi 30 septembre 2013

Nidification quasi certaine du dauphin commun en Iroise.

Ce matin dans un groupe de 6 ind  j'ai observé 2 femelles avec 2 bébés dauphins communs. Je n'ai pas réussi à faire de photo.
 
Ce jour nous avons observés 3 groupes de dauphins communs, et un grand dauphin solitaire qui est aller ce nourrir dans la pêcherie du Bachou, et a fait demi-tour pour retourner vars le Stiff. 
 
Le deuxième groupe d'une dizaine observé
 
Le changement de temps en soirée qui recouvre l'île.

dimanche 29 septembre 2013

Bonne observation ce 29 sept 2013.

Un Gd dauphin.

Après avoir enlevé le cordage dans leur hélice en compagnie du gd dauphin, ils ont fait quelques photos. En cliquant sur la photo pour l'agrandir  on voit le cordage.
Observation de 4 groupes de dauphin commun, mais je pense qu'il s'agit en fait que de 2 groupes de 25 ind et 10 ind.
début des observation à 10h jusqu'à 18h.
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D'un coté les dauphins et en tournant la tête, des guignards.