
Une question que l'on nous pose souvent, et qui part en réalité d'une erreur de concentration.
Le vrai nœud de la question était un autre :


Cette erreur de perception est exactement la même que celle qui a été commise pendant la Seconde Guerre mondiale, en analysant quelles zones d'avion ont été touchées par les tirs ennemis. Seuls les avions qui revenaient étaient étudiés, sans tenir compte de ceux qui tombaient dans la mer. Un cas clair de parti pris de survie.

Les orques attaquent toutes sortes de bateaux.
Voici une image d'Elsa, après plus de deux ans de travail à essayer de comprendre et d'atténuer ce problème. Ses gouvernails sont complètement pliés.
La différence ?



C'est pour ça qu'ils ne craquent pas mais ils sont aussi attaqués. Donc la solution était là-bas... et tellement oui, avec des mesures mises en œuvre de cette source qui ont contribué à réduire de 90% les attaques en 2 ans.
Maintenant Elsa est hors de l'eau, attend des réparations pour retourner à la mer et continuer à chercher des réponses.
Projet réalisé avec l'appui du Ministère de la transition écologique et du défi démographique.
-------------------------
Pourquoi la zone d'exclusion du plan de conservation de l'orque ibérique est-elle si importante ? 

Parce qu'on veut les laisser tranquilles.



C'est pourquoi nous ne travaillons avec elles que 2 à 3 semaines au printemps et une en été, et toujours avec un objectif très précis :


Nada más.
Aucune observation commerciale.
Pas de bruit.
Pas de poursuite.
La meilleure mesure de conservation est parfois la plus simple :
laisser tranquille.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire