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dimanche 10 octobre 2021

Sortie en mer du 10/10/21. Avec Explore Océan. (24e sortie en mer sur le gouf de Capbreton)

Temps idéal, mer belle, avec deux gros groupes de dauphins communs (150 ind) et grands dauphins (100 ind). Encore une fabuleuse sortie.

Météo 0/8, houle de 1 à 1,50 m, vent force 3 au début et mollissant jusqu'à force 1, Océan sans clapot.

2 espèces observées, tout d'abord un gros groupe de grands dauphins, (environ une centaine) puis la même chose pour les dauphins communs (avec environ 200 individus) 

Olivier anime la sortie




Grand dauphin








Dauphin commun




mercredi 1 septembre 2021

A propos du bon choix de choisir d'aller observer les cétacés avec le catamaran "Atalaya" de Explore Océan.

Comme je l'expliquais à une passagère venue de Toulouse et qui avait le mal de mer, le catamaran est ce qu'il y a de plus stable pour la navigation surtout lorsqu'il s'arrête (Atalaya) pour faciliter les observations, ont peu faire de bonne photos.
Je lui ai fait part de mon expérience avec des bateaux monocoques si confortable soient-ils, lorsqu'ils ralentissent, ils tanguent et faire des photos devient un sport d'équilibrisme. 
   
https://www.exploreocean.fr/
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Une de mes photos; le Dauphin bleu-blanc.

mardi 31 août 2021

Sortie en mer du 31/8/21. Avec Explore Océan. (23e sortie en mer sur le gouf de Capbreton)

 Fabuleuse sortie en mer, avec un festival de dauphins bleu-Blanc. 

Météo 0/8; houle de 1 à 1,50, vent force 2; océan sans clapot.

Espèce observé: Dauphin commun (Il m'a semblé en voir au loin, lors du premier groupe des dauphins bleu-blanc) puis 3 groupes de dauphin bleu-blanc avec une centaine d'individu à chaque fois. Avec un équipage toujours au top que je remercie.




Sortie éco-responsable











lundi 23 août 2021

Ce que j'ai observé à chaque voyage lors de la croisière des baleines.

En rouge ce sont les nouvelles espèces que j'ai observé, au cours des 26 voyages de 3 jours, j'ai vu 13 espèces différentes de cétacés.
Le temps d'un aller retour nous n'avons jamais vu plus de 10 espèces et pas moins de 5.
Au cours des traversées j'ai loupé l'Orque par deux fois et la Baleine à bosse. 























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Voici les observations faite par les anglais en 1999 depuis le ferry (Pride of Bilbao), soit 15 espèces différentes. 

dimanche 22 août 2021

Avec les vents différents, plus de marsouins échoués.


 Durant le printemps et le début de l’été, de nombreux marsouins se sont échoués sur les plages de la mer de la Manche « Une trentaine d’individus ont été retrouvés en quelques semaines », indique Eleonore Meheust, dans le Calvados surtout, mais également dans le département de la Manche, en avril et mai.

Un phénomène hélas habituel, mais qui s’est davantage observé cette année. Cependant, « il est difficile de dire s’il y a effectivement eu plus de morts cette année », car « la marée et les vents ont été différents en 2021 que durant les années précédentes. » Les vents de cette année ont ainsi pu transporter davantage de carcasses sur les plages. Le phénomène inverse est observé dans le golfe de Gascogne, où chaque année depuis 2016, Pélagis constate une augmentation du nombre de dauphins communs échoués sur les plages, mais où en 2021 les vents d’est ont pu au contraire ramener moins de carcasses sur terre.
Pour éviter des rencontres malheureuses entre les mammifères marins et les bateaux de pêche, des solutions existent. Des répulsifs acoustiques peuvent être installés sur les navires, et sont même obligatoires entre le 1er janvier et le 30 avril sur les chaluts pélagiques dans le golfe de Gascogne. « On réfléchit toujours à des solutions pour les autres bateaux. Sachant qu’on ne peut pas en mettre partout, sinon leurs effets seraient trop importants. »
Depuis janvier 2020, les pêcheurs doivent déclarer toute pêche accidentelle de mammifère marin. Mais « s’il y a de plus en plus de déclarations, le nombre demeure inférieur aux animaux découverts présentant des traces ». Eleonore Meheust relativise : « il faut toujours un peu de temps pour que ces changements soient acceptés par la profession. »

Les rorquals communs échoués en Manche et Atlantique étaient malades

Trois rorquals se échoués en dix jours sur les côtes de la mer de la Manche, notamment dans le département à Sainte-Marie-du-Mont et ici à Cherbourg. (©Jean-Paul BARBIER / La Presse de la Manche)
 
Par Romain Le BrisPublié le  
Cette image aussi impressionnante que dramatique s’est produite trois fois en l’espace de dix jours sur les côtes de la mer de la Manche : trois rorquals se sont échoués durant l’automne 2020.La série mortelle a démarré le 29 septembre, sur une plage de la réserve naturelle du Crotoy, en baie de Somme, où des pêcheurs découvrent la carcasse d’un rorqual commun. Le 3 octobre, un rorqual de Bryde, ou tropical, s’échoue à Utah Beachen baie des Veys à Sainte-Marie-du-Mont. La semaine suivante, le 6 octobre, un autre rorqual commun est trouvé mort sur la digue menant au fort de l’île Pelée, à l’est de Cherbourg-en-Cotentin.
Très amaigrisUn phénomène d’autant plus inquiétant que quatre autres rorquals communs se sont échoués durant cette fin d’année en Vendée et en Charente-Maritime, sur la façade Atlantique. En novembre, les experts n’avaient pas trouvé de réponse à ces échouages successifs étonnants. En mars, un autre rorqual commun en état de putréfaction avait été aperçu à Cherbourg, avant de s’échouer quelque temps plus tard au Touquet.
Des tests sont toujours en cours pour déterminer avec exactitude la cause de ces tristes événements. Néanmoins, l’observatoire Pélagis, organisme chargé de l’étude et de la protection des mammifères et oiseaux marins affilié à l’Université de La Rochelle et le CNRS, est désormais certain que les rorquals communs étaient atteints par une maladie.
« Des six échouages de cette espèce de baleine, tous les individus présentaient le même bilan : ils étaient très amaigris, souffraient de malnutrition, se sont probablement échoués vivants, et présentaient des pathologies cardio-respiratoires, avec des ganglions très réactifs. »Eleonore Meheust, ingénieure d’étude à Pélagis
Il s’agissait de trois mâles et de trois femelles. Des tests sont réalisés par différents laboratoires afin d’identifier l’agent pathogène responsable de ces morts, puisqu’il s’agissait probablement du même. « Il faut les réaliser un par un. » Trois tests négatifs ont déjà été obtenus : il ne s’agit pas de la brucellose, maladie bactérienne qui touche souvent les cétacés, ni d’un certain type de Covid qui peut les impacter également, ni d’un morbillivirus des cétacés.
Seul le rorqual tropical n’était pas malade« Cela pourrait être également une maladie causée par des problématiques environnementales : des toxiques, métaux, polluants… », poursuit l’observatoire Pélagis. « On va comparer avec les échouages depuis trente ans, voir comment ça a évolué. »Il faut en revanche différencier l’un des échouages survenu dans la Manche, celui du 3 octobre à Sainte-Marie-du-Mont. Cette découverte de carcasse de rorqual tropical constituait une première en France, peut-être même en Europe.Cette espèce vit normalement en Atlantique tropicale, vers le Maroc. « Il était hors de sa zone, perdu, beaucoup trop haut », indique Eleonore Meheust. Contrairement à tous les rorquals communs échoués, « celui-ci était en bonne condition physique ». La baleine s’est ainsi perdue dans une zone « à estran plat », sans savoir gérer la marée et a fini par mourir en baie des Veys.
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