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mercredi 1 septembre 2021

A propos du bon choix de choisir d'aller observer les cétacés avec le catamaran "Atalaya" de Explore Océan.

Comme je l'expliquais à une passagère venue de Toulouse et qui avait le mal de mer, le catamaran est ce qu'il y a de plus stable pour la navigation surtout lorsqu'il s'arrête (Atalaya) pour faciliter les observations, ont peu faire de bonne photos.
Je lui ai fait part de mon expérience avec des bateaux monocoques si confortable soient-ils, lorsqu'ils ralentissent, ils tanguent et faire des photos devient un sport d'équilibrisme. 
   
https://www.exploreocean.fr/
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Une de mes photos; le Dauphin bleu-blanc.

mardi 31 août 2021

Sortie en mer du 31/8/21. Avec Explore Océan. (23e sortie en mer sur le gouf de Capbreton)

 Fabuleuse sortie en mer, avec un festival de dauphins bleu-Blanc. 

Météo 0/8; houle de 1 à 1,50, vent force 2; océan sans clapot.

Espèce observé: Dauphin commun (Il m'a semblé en voir au loin, lors du premier groupe des dauphins bleu-blanc) puis 3 groupes de dauphin bleu-blanc avec une centaine d'individu à chaque fois. Avec un équipage toujours au top que je remercie.




Sortie éco-responsable











lundi 23 août 2021

Ce que j'ai observé à chaque voyage lors de la croisière des baleines.

En rouge ce sont les nouvelles espèces que j'ai observé, au cours des 26 voyages de 3 jours, j'ai vu 13 espèces différentes de cétacés.
Le temps d'un aller retour nous n'avons jamais vu plus de 10 espèces et pas moins de 5.
Au cours des traversées j'ai loupé l'Orque par deux fois et la Baleine à bosse. 























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Voici les observations faite par les anglais en 1999 depuis le ferry (Pride of Bilbao), soit 15 espèces différentes. 

dimanche 22 août 2021

Avec les vents différents, plus de marsouins échoués.


 Durant le printemps et le début de l’été, de nombreux marsouins se sont échoués sur les plages de la mer de la Manche « Une trentaine d’individus ont été retrouvés en quelques semaines », indique Eleonore Meheust, dans le Calvados surtout, mais également dans le département de la Manche, en avril et mai.

Un phénomène hélas habituel, mais qui s’est davantage observé cette année. Cependant, « il est difficile de dire s’il y a effectivement eu plus de morts cette année », car « la marée et les vents ont été différents en 2021 que durant les années précédentes. » Les vents de cette année ont ainsi pu transporter davantage de carcasses sur les plages. Le phénomène inverse est observé dans le golfe de Gascogne, où chaque année depuis 2016, Pélagis constate une augmentation du nombre de dauphins communs échoués sur les plages, mais où en 2021 les vents d’est ont pu au contraire ramener moins de carcasses sur terre.
Pour éviter des rencontres malheureuses entre les mammifères marins et les bateaux de pêche, des solutions existent. Des répulsifs acoustiques peuvent être installés sur les navires, et sont même obligatoires entre le 1er janvier et le 30 avril sur les chaluts pélagiques dans le golfe de Gascogne. « On réfléchit toujours à des solutions pour les autres bateaux. Sachant qu’on ne peut pas en mettre partout, sinon leurs effets seraient trop importants. »
Depuis janvier 2020, les pêcheurs doivent déclarer toute pêche accidentelle de mammifère marin. Mais « s’il y a de plus en plus de déclarations, le nombre demeure inférieur aux animaux découverts présentant des traces ». Eleonore Meheust relativise : « il faut toujours un peu de temps pour que ces changements soient acceptés par la profession. »

Les rorquals communs échoués en Manche et Atlantique étaient malades

Trois rorquals se échoués en dix jours sur les côtes de la mer de la Manche, notamment dans le département à Sainte-Marie-du-Mont et ici à Cherbourg. (©Jean-Paul BARBIER / La Presse de la Manche)
 
Par Romain Le BrisPublié le  
Cette image aussi impressionnante que dramatique s’est produite trois fois en l’espace de dix jours sur les côtes de la mer de la Manche : trois rorquals se sont échoués durant l’automne 2020.La série mortelle a démarré le 29 septembre, sur une plage de la réserve naturelle du Crotoy, en baie de Somme, où des pêcheurs découvrent la carcasse d’un rorqual commun. Le 3 octobre, un rorqual de Bryde, ou tropical, s’échoue à Utah Beachen baie des Veys à Sainte-Marie-du-Mont. La semaine suivante, le 6 octobre, un autre rorqual commun est trouvé mort sur la digue menant au fort de l’île Pelée, à l’est de Cherbourg-en-Cotentin.
Très amaigrisUn phénomène d’autant plus inquiétant que quatre autres rorquals communs se sont échoués durant cette fin d’année en Vendée et en Charente-Maritime, sur la façade Atlantique. En novembre, les experts n’avaient pas trouvé de réponse à ces échouages successifs étonnants. En mars, un autre rorqual commun en état de putréfaction avait été aperçu à Cherbourg, avant de s’échouer quelque temps plus tard au Touquet.
Des tests sont toujours en cours pour déterminer avec exactitude la cause de ces tristes événements. Néanmoins, l’observatoire Pélagis, organisme chargé de l’étude et de la protection des mammifères et oiseaux marins affilié à l’Université de La Rochelle et le CNRS, est désormais certain que les rorquals communs étaient atteints par une maladie.
« Des six échouages de cette espèce de baleine, tous les individus présentaient le même bilan : ils étaient très amaigris, souffraient de malnutrition, se sont probablement échoués vivants, et présentaient des pathologies cardio-respiratoires, avec des ganglions très réactifs. »Eleonore Meheust, ingénieure d’étude à Pélagis
Il s’agissait de trois mâles et de trois femelles. Des tests sont réalisés par différents laboratoires afin d’identifier l’agent pathogène responsable de ces morts, puisqu’il s’agissait probablement du même. « Il faut les réaliser un par un. » Trois tests négatifs ont déjà été obtenus : il ne s’agit pas de la brucellose, maladie bactérienne qui touche souvent les cétacés, ni d’un certain type de Covid qui peut les impacter également, ni d’un morbillivirus des cétacés.
Seul le rorqual tropical n’était pas malade« Cela pourrait être également une maladie causée par des problématiques environnementales : des toxiques, métaux, polluants… », poursuit l’observatoire Pélagis. « On va comparer avec les échouages depuis trente ans, voir comment ça a évolué. »Il faut en revanche différencier l’un des échouages survenu dans la Manche, celui du 3 octobre à Sainte-Marie-du-Mont. Cette découverte de carcasse de rorqual tropical constituait une première en France, peut-être même en Europe.Cette espèce vit normalement en Atlantique tropicale, vers le Maroc. « Il était hors de sa zone, perdu, beaucoup trop haut », indique Eleonore Meheust. Contrairement à tous les rorquals communs échoués, « celui-ci était en bonne condition physique ». La baleine s’est ainsi perdue dans une zone « à estran plat », sans savoir gérer la marée et a fini par mourir en baie des Veys.
https://actu.fr/societe/les-rorquals-communs-echoues-en-manche-et-atlantique-etaient-malades_44226885.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1W_luD1uzxelKtwPzNZZDeIT-UM1uPsMyE8Ckx

vendredi 20 août 2021

Agustin Lizardi, était le patron de l'Inaxio Potxolo, il nous a quitté, repose en paix.



Agustin Lizardi, était le patron de l'Inaxio Potxolo, c'est aussi le premier bateau avec lequel je suis sortie en mer au large de Bilbao en 2012. Nous ses passagers français se souviendrons toujours de lui avec respect, appréciation et beaucoup d'affection. C'était une personne très noble et surtout un très bon marin.
Une garantie en mer. Repose en paix ami marin

Les observations des sorties de la LPO dans la zone du gouf de Capbreton.

Voici le 3e volet de mon fichier Excel, sur les observations des différents groupes qui vont sur le gouf de Capbreton
La LPO (Bordeaux) privilégie avant tout les observations des oiseaux de mer et depuis 2011 avec 1 à 2 sorties par an, soit 16 à ce jour. 
Le départ du bateau la Nivelle V, est à Saint-Jean-de-Luz au port de pêche.

jeudi 19 août 2021

Compilation des données des cétacés observés en Galice par CEMMAcetaceos.

En parcourant leur page Facebook, j'ai compilé toutes les observations pour en faire un fichier XL, il en résulte que cette association a découvert la plus grande diversité connue sur la façade nord des côtes espagnoles que ce soit en bateau d'observation ou lors d'échouage sur le rivage. 

Deux incertitudes demeures la présence de la Baleine à bosse et le Lagénorhynque à flancs blancs.  

mardi 17 août 2021

Mise à jour des observations des cétacés dans le gouf de Capbreton. Qui à observé quoi ?

Le secteur des observations est celui uniquement du gouf de Capbreton.
Voilà un domaine où des observateurs (tout du moins certains) sont parfois très réticents à communiquer les observations, néanmoins en cherchant sur leurs sites, j'arrive malgré tout à le savoir. 
Je désire avant tout remercier Jésus Menendez, pour sa collaboration et ses plus de 3000 heures d'observation soit depuis Cabo de Ajo ou en bateau au large de Castro-Urdiales (Bilbao) et des ses nombreuses photos prouvant la véracité des observations. 
Toutes les personnes ont au moins observées les 6 espèces communes du Gd dauphin au Rorqual commun, c'est ensuite à partir du Cachalot que les observations deviennes plus rare et qu'il faut multiplier le nombre de sorties en mer.
Avec Karraspio et Ambar-elkartea nous avons prospecté à la recherche du Marsouin commun sans succès, seule une photo de Jésus Ménendez a prouvé son existence au 21e siècle.
AmbarElkar, participe à beaucoup d'échouage sur les côtes, leurs observations ne sont pas que des cétacés vivants, mais ils l'ont été avant l'échouement 
Les dits observateurs anonymes sont des personnes passionnés et qui ont eu la chance d'être là au bon moment. 
 

Pour les autres cétacés; la baleine à bosse a été vu de Bidart au port de Bilbao. 
La baleine bleue en face Bilbao/Berméo. 
L'hypéroodon par moi même sur le ferry en 2000 à la sortie du Port de Bilbao, avec d'autres observateurs. 
Le cachalot pygmé et le lagénorhynque à flancs blancs ont été trouvé mort en échouage.